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La Coluche
Manger équilibré est une affaire d’État
La Sécurité sociale alimentaire La Coluche garantit 3 repas équilibrés par jour, luttant ainsi contre la précarité alimentaire.Créée en 2035 pour les 50 ans des Restos du Cœur et les 90 ans de la Sécurité sociale, la sécurité sociale alimentaire, La Coluche, garantit à tous l’accès à des aliments sains et durables. Elle prend en charge un minimum vital de 3 repas équilibrés par jour. Les crédits repas non utilisés ne pourront pas être reportés sur le jour suivant.
Cette initiative a permis aux banques alimentaires de s’investir dans d’autres actions, d’améliorer la santé des français et de générer d’importantes économies en santé publique. Selon les économistes, elle est financièrement avantageuse pour le pays, rapportant plus qu’elle ne coûte.
Les produits sains pour manger équilibré ont la réputation de coûter cher. Mais, mal manger a aussi des conséquences ! 1 décès sur 5 dans le monde pourrait être évité en s’alimentant correctement. C’est un facteur de risque plus grand que le tabac. Alors évidemment, les maladies liées à une mauvaise alimentation représentent un coût massif pour la Sécurité sociale.
Et si bien manger permettait finalement de faire des économies ? C’est un investissement qui a été expérimenté en Inde, sous le nom de Food Security Act. L’État distribue à 2 familles indiennes sur 3 des denrées produites localement.
En France, à une autre échelle, plusieurs expérimentations sont en cours notamment à Toulouse et Montpellier. La chercheuse de l’Inrae de Montpellier, Dominique Paturel, travaille sur la démocratie alimentaire au sein d’un collectif et appelle à une sécurité sociale de l’alimentation.
Les produits sains pour manger équilibré ont la réputation de coûter cher. Mais, mal manger a aussi des conséquences ! 1 décès sur 5 dans le monde pourrait être évité en s’alimentant correctement. C’est un facteur de risque plus grand que le tabac. Alors évidemment, les maladies liées à une mauvaise alimentation représentent un coût massif pour la Sécurité sociale.
Et si bien manger permettait finalement de faire des économies ? C’est un investissement qui a été expérimenté en Inde, sous le nom de Food Security Act. L’État distribue à 2 familles indiennes sur 3 des denrées produites localement.
En France, à une autre échelle, plusieurs expérimentations sont en cours notamment à Toulouse et Montpellier. La chercheuse de l’Inrae de Montpellier, Dominique Paturel, travaille sur la démocratie alimentaire au sein d’un collectif et appelle à une sécurité sociale de l’alimentation.
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