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Coopérations territoriales, Hygiène et Santé
Putrilagium
La sépulture nature
Tout le monde a le droit à une seconde chance.Vous souhaitez continuer à protéger la nature après votre décès ? En ingérant Putrilagium, votre corps se transforme en humus à votre mort. Grâce à une bactérie qui accélère sa décomposition, le processus ne prend pas plus de quelques jours. Putrilagium contribue à réduire l’utilisation de cercueils en bois et de pierres tombales, tout en favorisant la croissance de nouveaux arbres.
Médicament à prendre de votre vivant et en ayant pleine connaissance de ses effets.
Il n’est jamais trop tard pour penser à sa mort ! Alors n’oubliez pas de réserver votre place dans une forêt mortuaire.
Et si on devenait engrais plutôt que pollution ? Avec plus de 600 000 décès par an en France, même après notre dernier souffle, on émet encore du CO₂.
Le processus de crémation (ou incinération), équivaut à un trajet de 600 km en voiture. L’inhumation, elle, mobilise bois, béton, vernis et parfois un caveau grand luxe… pour un impact jusqu’à 5 fois plus élevé.
Heureusement, des idées plus vertes germent : à La Fajolle dans l’Aude, une forêt cinéraire accueille déjà les cendres de ses habitants sous les arbres. Aux Pays-Bas, l’entreprise Loop propose des cercueils 100 % champignon.
La pilule imaginée ici n’existe pas (encore), mais elle pose une vraie question : et si notre dernière action était de faire pousser la vie ?
Et si on devenait engrais plutôt que pollution ? Avec plus de 600 000 décès par an en France, même après notre dernier souffle, on émet encore du CO₂.
Le processus de crémation (ou incinération), équivaut à un trajet de 600 km en voiture. L’inhumation, elle, mobilise bois, béton, vernis et parfois un caveau grand luxe… pour un impact jusqu’à 5 fois plus élevé.
Heureusement, des idées plus vertes germent : à La Fajolle dans l’Aude, une forêt cinéraire accueille déjà les cendres de ses habitants sous les arbres. Aux Pays-Bas, l’entreprise Loop propose des cercueils 100 % champignon.
La pilule imaginée ici n’existe pas (encore), mais elle pose une vraie question : et si notre dernière action était de faire pousser la vie ?
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