Alimentation, Pari réparateur

Hydrophile

L’eau d’une qualité comme on en fait plus

Issue des sept plus hauts sommets du monde et embouteillée à la source, cette gamme d’eaux de source vous fera voyager.

Marre des eaux surtraitées ? Marre des eaux sans saveurs ? Buvez Hydrophile, une eau aussi rare que délicieuse et pure. Avec l’évolution du climat, la pollution et la croissance démographique, l’eau est devenue une ressource impropre à la consommation sans de lourds traitements. La gamme Hydrophile vous propose la dernière alternative naturellement saine, source de richesse extérieure.

Imaginez : gravir l’un des sept plus hauts sommets du monde… pour embouteiller de l’eau. Absurde ? Peut-être. Mais avec le réchauffement climatique, les sources naturelles saines pourraient être de plus en plus difficiles d’accès.

Moins de neige en hiver, plus de chaleur en été, des pluies mal réparties,nos réserves ne se rechargent plus comme avant. Et même quand l’eau est là, elle n’est pas toujours propre à la consommation. Engrais, pesticides… la qualité des sources souterraines peut en prendre un coup. Bonne nouvelle quand même : en 2022, près de 68 % des eaux de surface et souterraines étaient en bonne santé chimique. C’est mieux qu’en 2010, où c’était seulement 51 % à 59 %. Résultat, une source intacte reste un trésor, mais au moins, on progresse.

Mais si on en arrive à chercher l’eau au sommet du monde, c’est peut-être qu’il est temps de redescendre sur Terre !
Imaginez : gravir l’un des sept plus hauts sommets du monde… pour embouteiller de l’eau. Absurde ? Peut-être. Mais avec le réchauffement climatique, les sources naturelles saines pourraient être de plus en plus difficiles d’accès.

Moins de neige en hiver, plus de chaleur en été, des pluies mal réparties,nos réserves ne se rechargent plus comme avant. Et même quand l’eau est là, elle n’est pas toujours propre à la consommation. Engrais, pesticides… la qualité des sources souterraines peut en prendre un coup. Bonne nouvelle quand même : en 2022, près de 68 % des eaux de surface et souterraines étaient en bonne santé chimique. C’est mieux qu’en 2010, où c’était seulement 51 % à 59 %. Résultat, une source intacte reste un trésor, mais au moins, on progresse.

Mais si on en arrive à chercher l’eau au sommet du monde, c’est peut-être qu’il est temps de redescendre sur Terre !

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